Un Ghestem au pays du Web

papyhub@cegetel.net

Chapitre 1. Historique de mes sites

J'ai suivi, en tant qu'enseignant en Automatisme industriel à l'IUT, toute l'évolution de l'informatique. Mon premier site a été créé en 1996 avec AOL qui l'a hébergé jusqu'en 2008. Ensuite, en 2003, j'ai pris ghestem.net chez l'hébergeur Amen. J'ai créé le site www.ghestem.net plutôt porté sur la généalogie des Ghestem. Puis dans les années qui ont suivi, je me suis tourné vers l'hébergeur 1and1, devenu IONOS, et ai ouvert ghestem.name, maintenant abandonné, et www.ghestem.info, site donnant des informations personnelles.

En août 2011, Amen m'a envoyé une pub pour un site en .me (le moi en Anglais). J'ai donc acheté ghestem.me et créé ce site sur lequel je m'exerce avec les nouvelles techniques du Web. Mais je vais abandonner tous ces sites, la communication se faisant maintenant sur les réseaux sociaux.

Chapitre 2. La beauté en informatique

En informatique, aligner des lignes d’instructions qui aboutissent à un bon résultat est un travail qui donne de la satisfaction. On est heureux quand l’application satisfait pleinement au cahier des charges. La beauté ne réside pas là mais je l’ai trouvée dans les deux procédés suivants:

- La récursivité : une fonction qui s’appelle elle-même. L’exemple classique est le calcul de la suite de Fibonacci. Un nombre de la suite est la somme des deux précédents, les deux premiers étant à un au départ.

- L’appel de la même fonction par différents processus dans le multitâche. L’exemple type est le dîner des philosophes. Chacun des philosophes appelle la même fonction qui gère pour chacun d’eux leurs trois états : penser, attendre et manger.

Chapitre 3. Comparaison C++ et Python

Tout le monde sait que l’un est compilé, l’autre interprété. En fait, pour de petites applications courantes, cela n’a pas d’importance. La manière d’écrire les lignes d’une application en C++ ou en Python n’a pas non plus beaucoup d’importance. Par contre, ce qui est totalement différent dès le départ, est le fait que le C étant un langage typé, il faut y déclarer préliminairement la nature des variables qu’on va utiliser tandis qu’en Python, le typage est dynamique : pas de déclarations préliminaires. En Python, si on écrit a = 17, a contient un entier. Si ensuite, on divise ce 17 par 3, alors a contiendra un flottant, contrairement à C qui ne gardera que la partie entière. Le programmeur en Python n’a donc pas de souci avec le type des variables, au moins pour commencer car, en cours de programmation, le problème de la nature des variables peut surgir. Dans ce cas, Python donne heureusement des moyens pour agir.

Python a donc simplifié sa programmation, il est alors plus facile de passer du C++ au Python que l’inverse. Son succès auprès des étudiants et chercheurs provient aussi du fait qu’il possède une grande quantité de bibliothèques, surtout scientifiques, lesquelles permettent d’écrire rapidement des applications et de montrer graphiquement les résultats. En fait, ces bibliothèques camouflent des opérations plus ou moins compliquées, par exemple celle de l’accès aux pins d’un Raspberry pour connaître leur état ou pour les commander.

Personnellement, je travaille depuis longtemps avec Qt, une interface de programmation orientée objet développée en C++, qui peut être implanté aussi bien sur Unix que sur Windows. Il est très facile de créer des fenêtres de dialogue ou d’animation graphique.